Jordan Bardella, le chef de l'extrême droite française, dénie aux Palestiniens le droit à un État. / Photo: AFP (AFP)

C’est la dernière ligne droite menant au premier tour des législatives anticipées de dimanche en France.

Les candidats abattent leurs dernières cartes. Dimanche, le président Emmanuel Macron s’est adressé aux français dans une lettre publiée dans les principaux journaux du pays.

Le chef de l'extrême droite française, Jordan Bardella, est défavorable pour le moment à la reconnaissance d'un État palestinien, estimant que "ce serait reconnaître le terrorisme" après les événements du 7 octobre en Israël, et la campagne militaire meurtrière de l'armée israélienne à Gaza.

"Je ne dis pas que cela ne doit pas rester un horizon, mais reconnaître un État palestinien au moment où nous nous parlons, ce serait reconnaître le terrorisme", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. "Ce serait accorder une légitimité politique à une organisation qui prévoit dans sa charte la destruction de l'État d'Israël", a-t-il ajouté, en référence au Hamas.

Abordant les relations avec le Liban, le chef de l'extrême droite française, Jordan Bardella, a affirmé qu'il entend poursuivre les “ liens très forts” entre la France et le Liban, tout en mettant en garde contre des “ conséquences lourdes” en cas de guerre plus élargie entre le Hezbollah et Israël, a-t-il mis en garde.

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TRT Français et agences