Témoin assisté dans ce dossier, Gérald Darmanin avait déjà bénéficié en juillet dernier d'une ordonnance de non-lieu, alors rendue par le juge chargé d'instruire l'affaire.
Le ministre a toujours clamé son innocence et évoqué une relation sexuelle librement consentie avec son accusatrice.
La décision rendue ce mardi est toujours susceptible d'un pourvoi en cassation, voire d'un recours devant la Cour européenne des droits de l'homme.
AFP