L'accusation avait requis en juillet dernier un an de prison avec sursis à l'encontre de chacun des trois policiers.
Amadou Koumé, souffrant de troubles psychiques, est décédé peu de temps après son interpellation d'une "asphyxie mécanique lente" provoquée par des clés d'étranglement.
C'est le propriétaire du bar qui avait appelé la police face au comportement d'Amadou Koumé.
La pratique de la clé d'étranglement avec plaquage ventral a été interdite dans la police française en juillet 2021 à la suite de l'affaire Cédric Chouviat, du nom de ce livreur mort asphyxié lors de son interpellation à Paris en janvier 2020, quelque cinq mois avant la mort de George Floyd aux Etats-Unis dans des conditions similaires.
Reuters
