“Tôt ou tard, les Palestiniens rentreront chez eux. Tôt ou tard, les Palestiniens utiliseront les clés de leurs maisons, qu'ils ont gardées sous leur oreiller et transmises de génération en génération”, a écrit le président turc Recep Tayyip Erdogan, dans un post sur son compte Twitter.
Cette déclaration est intervenue à l’occasion du 76e anniversaire de la Nakba, ou la Grande Catastrophe, commémorée par les Palestiniens le 15 mai de chaque année, traduisant leur quête pour une patrie et l’indépendance après la création de l’État d’Israël.
Erdogan a, à cette occasion exprimé sa solidarité avec le peuple palestinien et sa compassion dans la douleur provoquée par la Nakba et l’a assuré du soutien indéfectible de la Turquie à sa cause.
Il s’est également dit convaincu que les Palestiniens retourneront un jour dans leurs foyers, tout en réaffirmant l'engagement de la Turquie à se tenir aux côtés de la Palestine et de son peuple.
Le président turc a également émis l’espoir de voir une résolution pacifique du conflit israélo-palestinien et l’établissement d’un État palestinien.
Soins de santé
Dans son message, Erdogan a répondu aux critiques relatives aux soins de santé fournis par la Turquie aux Palestiniens blessés, affirmant que son pays a le droit de fournir une aide médicale à tous ceux qui en ont besoin.
Il a également déclaré que les “meurtriers sionistes” qui s’attaquent à lui et à la Turquie sont un signe d'honneur et non une raison d’avoir peur.
Erdogan a mis en garde contre les potentielles ambitions expansionnistes d'Israël, suggérant que si rien n'est fait pour l’arrêter, Israël pourrait prendre pour cible l'Anatolie dans sa quête d'une “terre promise”.
“Ne vous attendez pas à ce qu’Israël s’arrête à Gaza. S’il n’est pas arrêté, cet État terroriste et féroce finira par avoir des desseins sur l’Anatolie avec l’illusion de la terre promise”, a-t-il dit.
Le président turc a par ailleurs stigmatisé le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l'accusant ainsi que ses alliés de commettre un génocide.
Il a promis que la Turquie demanderait justice pour chaque victime et tient à traduire en justice les responsables de ces violences.
“Tôt ou tard, les Palestiniens rentreront chez eux. Tôt ou tard, les Palestiniens utiliseront les clés de leurs maisons, qu'ils ont gardées sous leur oreiller et transmises de génération en génération”, a écrit le président turc Recep Tayyip Erdogan, dans un post sur son compte Twitter.
Cette déclaration est intervenue à l’occasion du 76e anniversaire de la Nakba, ou la Grande Catastrophe, commémorée par les Palestiniens le 15 mai de chaque année, traduisant leur quête pour une patrie et l’indépendance après la création de l’État d’Israël.
Erdogan a, à cette occasion exprimé sa solidarité avec le peuple palestinien et sa compassion dans la douleur provoquée par la Nakba et l’a assuré du soutien indéfectible de la Turquie à sa cause.
Il s’est également dit convaincu que les Palestiniens retourneront un jour dans leurs foyers, tout en réaffirmant l'engagement de la Turquie à se tenir aux côtés de la Palestine et de son peuple.
Le président turc a également émis l’espoir de voir une résolution pacifique du conflit israélo-palestinien et l’établissement d’un État palestinien.
“Meurtriers sionistes”
Dans son message, Erdogan a répondu aux critiques relatives aux soins de santé fournis par la Turquie aux Palestiniens blessés, affirmant que son pays a le droit de fournir une aide médicale à tous ceux qui en ont besoin.
Il a également déclaré que les “meurtriers sionistes” qui s’attaquent à lui et à la Turquie sont un signe d'honneur et non une raison d’avoir peur.
Erdogan a mis en garde contre les potentielles ambitions expansionnistes d'Israël, suggérant que si rien n'est fait pour l’arrêter, Israël pourrait prendre pour cible l'Anatolie dans sa quête d'une “terre promise”.
“Ne vous attendez pas à ce qu’Israël s’arrête à Gaza. S’il n’est pas arrêté, cet État terroriste et féroce finira par avoir des desseins sur l’Anatolie avec l’illusion de la terre promise”, a-t-il dit.
Le président turc a par ailleurs stigmatisé le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l'accusant ainsi que ses alliés de commettre un génocide.
Il a promis que la Turquie demanderait justice pour chaque victime et tient à traduire en justice les responsables de ces violences.
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