Tout en étant dans l’ensemble pacifiques, les rassemblements ont connu quelques affrontements, sur une place historique française et devant les ambassades israéliennes à Londres et à Athènes, en Grèce.
La police métropolitaine du Royaume-Uni a déclaré que lors des événements de lundi au centre de Londres trois manifestants ont été arrêtés et que d'autres enquêtes sont en cours.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées à Paris en soutien à Israël, marchant jusqu'à la place du Trocadéro surplombant la tour Eiffel.
Le monument était illuminé aux couleurs du drapeau israélien, en signe de solidarité annoncée par la maire de Paris, Anne Hidalgo.
"Libérez la Palestine"
À Athènes, environ 250 personnes, principalement des expatriés palestiniens et des membres de groupes de gauche, ont organisé une manifestation pacifique devant l'ambassade israélienne pour exprimer leur solidarité avec les Palestiniens.
Les manifestants ont agité des drapeaux palestiniens et scandé des slogans, tandis qu'une importante présence policière a bloqué l'accès au bâtiment de l'ambassade.
À Londres, des centaines de personnes ont scandé "Israël est un État terroriste" et "Libérez la Palestine" pendant que d’autres ont brandi des pancartes appelant Israël à "mettre fin à l'occupation".
Aux États-Unis, des rassemblements similaires ont eu lieu dans plusieurs villes, dont New York, où des manifestants opposés ont échangé cris et vociférations, près du siège de l'ONU au milieu d'un important dispositif policier.
